L'évaluation des apprentissages est certainement une activité « paradoxale ». Elle demande de prendre une « mesure » objective et juste de la progression d'un élève, tout en ayant une forte teneur subjective (Laurier, Tousigant et Morisette (2005). Ainsi, le premier principe que je tenterai d'insérer dans ma pratique est de tenter de réduire au maximum l'influence de cette subjectivité sur l'évaluation que je ferai des étudiants. Par exemple, si j'en viens à accorder des points de participation, je le ferai sur la base d'éléments qui ne dépendent pas de ma simple observation. Par exemple, un professeur en philosophie à l'Université de Montréal demandait de courts résumés de textes (140 caractères dans son cas) pour s'assurer que les élèves aient lu les textes. Il ne s'agit pas d'un moyen parfait, les étudiants pouvant certainement copier facilement le résumé d'un autre, mais il avait cet avantage de permettre au professeur d'assurer